Un grave incident est intervenu lors de l’atterrissage de l’avion présidentiel dans la nuit du 10 au 11 septembre 2025. Des langues se délient pour parler d’une tentative de coup d’État, d’autres évoquent un sabotage, d’autres encore parlent d’une panne technique, ayant contraint l’avion de Félix Tshisekedi de rester près d’une heure dans les airs, et beaucoup d’autres à atterrir à Brazzaville.
Le directeur général de la Régie des voies aériennes a frappé du poing sur la table en suspendant le commandant de l’aéroport de N’Djili jusqu’à nouvel ordre.
Selon nos sources, une trentaine de membres du personnel technique affectés à la piste d’atterrissage de l’aéroport international de Ndjili ont été interpellés, ainsi que certains de leurs responsables, dont ledit commandant.
Pour un autre agent de l’aéroport qui a requis l’anonymat, les arrestations ont été effectuées par la Garde républicaine. Certains agents auraient été transférés dans un cachot à Kinkole pour être entendus.
« L’incident est survenu entre 2 heures et 3 heures du matin. À cause d’une panne d’électricité, le groupe électrogène censé prendre le relais n’a pas démarré. Ce qui a retardé l’atterrissage de l’avion présidentiel de près d’une heure », a expliqué cette source.
Le président Félix Tshisekedi rentrait d’une mission officielle à l’étranger, notamment au Kazakhstan.
Badinews